Cette chanson a été composée par Dimitri Tiomkin et écrite par Ned Washington en 1952 pour le film Le train sifflera trois fois (High Noon, réalisé par Fred Zinnemann). Elle participa probablement au succès du film et reste aujourd'hui un classique de la musique/chanson de film. Le prestigieux American Film Institut l'a classée 10ème plus belle musique de film de tous les temps, et 25ème plus belle chanson de film de tous les temps.
Paroles françaises
Si toi aussi tu m'abandonnes
O mon unique amour, toi
Nul ne pourra plus jamais rien,
Non, rien pour moi
Si tu me quittes plus personne
Ne comprendra mon désarroi
Et je garderai ma souffrance
Dans un silence
Sans espérance
Puisque ton cœur ne sera plus là
O mon unique amour, toi
Nul ne pourra plus jamais rien,
Non, rien pour moi
Si tu me quittes plus personne
Ne comprendra mon désarroi
Et je garderai ma souffrance
Dans un silence
Sans espérance
Puisque ton cœur ne sera plus là
C'est la cruelle incertitude
Qui vient hanter ma solitude
Que deviendrai-je dans la vie
Si tu me fuis
J'ai tant besoin de ta présence
Tu restes ma dernière chance
Si tu t'en vas, j'aurai trop peur
Peur, de ne plus vivre une heure
Qui vient hanter ma solitude
Que deviendrai-je dans la vie
Si tu me fuis
J'ai tant besoin de ta présence
Tu restes ma dernière chance
Si tu t'en vas, j'aurai trop peur
Peur, de ne plus vivre une heure
Si toi aussi tu m'abandonnes
Il ne me restera plus rien
Plus rien au monde et plus personne
Qui me comprenne
Qui me soutienne
Ou qui me donne simplement la main
Attends, attends, attends, demain.
Paroles originales
Do not forsake me, oh, my darlin',
On this, our wedding day.
Do not forsake me, oh, my darlin',
Wait; wait alone.
I do not know what fate awaits me.
I only know I must be brave.
For I must face a man who hates me,
Or lie a coward, a craven coward;
Or lie a coward in my grave.
Oh, to be torn 'twixt love an' duty.
S'posin' I lose my fair-haired beauty.
Look at that big hand move along,
Nearing high noon.
He made a vow while in state prison:
Vowed it would be my life for his an',
I'm not afraid of death but, oh, what shall I do,
If you leave me?
Do not forsake me, oh, my darlin':
You made that promise as a bride.
Do not forsake me, oh, my darlin'.
Although you're grievin', don't think of leavin',
Now that I need you by my side.
Wait along, (Wait along.)
Wait along.
Wait along. (Wait along, wait along, wait along, wait along.)
Il ne me restera plus rien
Plus rien au monde et plus personne
Qui me comprenne
Qui me soutienne
Ou qui me donne simplement la main
Attends, attends, attends, demain.
Paroles originales
Do not forsake me, oh, my darlin',
On this, our wedding day.
Do not forsake me, oh, my darlin',
Wait; wait alone.
I do not know what fate awaits me.
I only know I must be brave.
For I must face a man who hates me,
Or lie a coward, a craven coward;
Or lie a coward in my grave.
Oh, to be torn 'twixt love an' duty.
S'posin' I lose my fair-haired beauty.
Look at that big hand move along,
Nearing high noon.
He made a vow while in state prison:
Vowed it would be my life for his an',
I'm not afraid of death but, oh, what shall I do,
If you leave me?
Do not forsake me, oh, my darlin':
You made that promise as a bride.
Do not forsake me, oh, my darlin'.
Although you're grievin', don't think of leavin',
Now that I need you by my side.
Wait along, (Wait along.)
Wait along.
Wait along. (Wait along, wait along, wait along, wait along.)
En France, elle fut popularisée par le chanteur John William (sur des paroles de Henri Contet et Max François), et reprise plusieurs fois, par Lucienne Delyle notamment. Plus récemment, le chanteur cinéphile Eddy Mitchell en a proposé une très belle version dans son album Grand Format (2009).
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